Research Priorities in Geriatric Palliative Care: Nonpain Symptoms
Journal of Palliative Medicine
To cite this article:
Sara Combs, Benzi M. Kluger, and Jean S. Kutner. Journal of Palliative Medicine. September 2013, 16(9): 1001-1007. doi:10.1089/jpm.2013.9484.
Published in Volume: 16 Issue 9: September 16, 2013
Online Ahead of Print: July 26, 2013
Author information
Sara Combs, MD,1 Benzi M. Kluger, MD, MS,2 and Jean S. Kutner, MD, MSPH3
1Division of Renal Medicine, University of Colorado School of Medicine, Aurora, Colorado.
2Department of Neurology, University of Colorado School of Medicine, Aurora, Colorado.
3Division of General Internal Medicine, Department of Medicine, University of Colorado School of Medicine, Aurora, Colorado.
Accepted April 1, 2013
ABSTRACT
Research
addressing the burden, assessment, and management of nonpain symptoms
associated with advanced illness in older adults is limited.
While
nonpain symptoms such as fatigue, sleep, dyspnea, anxiety, depression,
cognitive impairment, nausea, and anorexia-cachexia are commonly noted
by patients and clinicians, research quantifying their effects on
quality of life, function, and other outcomes are lacking and there is
scant evidence regarding management.
Most available studies have focused
on relatively narrow conditions (e.g., chemotherapy-induced nausea) and
there are almost no data relevant to patients with multiple morbidities
or multiple concurrent symptoms.
Assessment and treatment of nonpain
symptoms in older adults with serious illness and multiple comorbidities
is compromised by the lack of data relevant to their care.
Recommended
research priorities address the documented high prevalence of
distressing symptoms in older adults with serious illness, the unique
needs of this population due to coexistence of multiple chronic
conditions along with physiologic changes related to aging, the lack of
evidence for effective pharmacologic and nonpharmacologic interventions,
and the need for validated measures that are relevant across multiple
care settings.
R et D
Toulouse: Cinq PME de biotechnologie qui luttent contre le cancer
ARN interférence, immunothérapie, marqueurs pour IRM, transfert de gènes, molécules thérapeutiques... Regroupées sur le site de l'Oncopole de Toulouse, ces entreprises développent des synergies dans le cadres de recherches appliquées à la lutte contre le cancer.
-
SeleXel spécialiste de l'ARN interférence
- 1/5CONCEPT : Dans un cancer, quelques gènes qui contrôlent le fonctionnement de nos cellules "déraillent" : ils sont sous-exprimés, sur-exprimés, ou ne s'expriment pas au bon endroit, ou encore sont mutés et codent pour une protéine défectueuse. La dérégulation de ces gènes peut alors accélérer la division des cellules ou leur permettre de migrer et de former des métastases. SeleXel, grâce à sa technologie dite d'"ARN interférence", parvient à empêcher l'expression de ces gènes, ce qui bloque le développement du cancer.ÉQUIPE : Florence Cabon, chercheuse à l'Inserm, a créé la société en 2006 pour valoriser un brevet issu de travaux qu'elle menait à Villejuif. La société a déménagé au sein de la pépinière Pierre Potier de l'Oncopole de Toulouse en 2010. Elle est dirigée par Pierre Attali, ancien directeur du développement clinique de Synthélabo, également directeur général délégué de BioAlliance Pharma. Etienne Krieger et Bruno Brisson complètent l'équipe.APPLICATIONS : SeleXel travaille à la mise au point d'un traitement contre les cancers de la prostate résistant à la castration chimique. Les essais cliniques devraient débuter cette année en collaboration avec l'Institut Claudius Regaud. Elle mène également un projet collaboratif avec l'Inserm pour un traitement du glioblastome, la tumeur du cerveau la plus agressive.PERSPECTIVES : Pour parfaire son savoir-faire et accroître sa visibilité, l'entreprise souhaite se positionner comme plateforme d'identification de cibles thérapeutiques d'ARN interférence, en réalisant d'abord les premières étapes du développement clinique, puis en licenciant ensuite à des industriels. La technologie d'ARN interférence peut en effet s'appliquer à bien des pathologies : les cancers, les maladies orphelines, celles de la peau ou du foie...
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/recherche-et-developpement/toulouse-cinq-pme-de-biotechnologie-qui-luttent-contre-le-cancer_43355.html#t44c6dlvhm5VKvqw.99
Toulouse déclare la guerre au cancer
Devenir le leader européen de la lutte contre le cancer, c'est l'ambition de l'Oncopole qui émerge dans la Ville rose. Zoom sur ce centre névralgique qui devrait porter une innovation que l'on pourrait qualifier d'utilité publique.
A l'Oncopole, on trouvera également le Centre de recherche en cancer de Toulouse (CRCT), dont les équipes travaillent sur des projets publics-privés avec de grands laboratoires pharmaceutiques ; le centre Pierre Potier, un hôtel à projets de 5 000 m2 abritant des équipes de l'Itav (Institut des technologies avancées en sciences du vivant) ; ainsi qu'une pépinière d'entreprises destinée à l'implantation de sociétés spécialisées dans les biotechnologies.Tous les bâtiments ne sont pas encore livrés ni toutes les équipes sur place, mais le Canceropôle est déjà en action. Il compte devenir un leader, si ce n'est le leader européen dans la lutte contre le cancer. Symbole de cette ambition, le projet Captor (pour Cancer Pharmacology of Toulouse Oncopole and Region), qui vient de démarrer, avec lequel il est devenu, dans le cadre d'un appel à projets Investissements d'avenir, lauréat ex aequo face à Pacri, soutenu par plusieurs instituts franciliens (dont Curie, Gustave-Roussy, etc.).
Captor : un projet phare
Porté par l'université Paul-Sabatier, avec le CHU de Toulouse, l'Institut Claudius Regaud, l'Inserm et le CNRS, Captor prévoit de l'innovation autour des molécules, de la recherche clinique, un volet formation pour les professionnels, mais aussi de la "pharmacologie sociale". Il s'agit notamment de suivre des patients pour étudier l'observance de leur traitement pendant et après leur maladie, afin de mieux comprendre l'influence des déterminants sociaux dans le déroulement de la période située après un cancer. Ombre au tableau dans cet ambitieux projet Oncopole, le désengagement envisagé de Sanofi, alors que le groupe pharmaceutique était un des grands piliers industriels de l'aventure avec les Laboratoires Pierre Fabre. Malgré des propos se voulant rassurants du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg tenus à l'automne dernier, la menace plane toujours.
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Toulouse déclare la guerre au cancer
Devenir le leader européen de la lutte contre le cancer, c'est l'ambition de l'Oncopole qui émerge dans la Ville rose. Zoom sur ce centre névralgique qui devrait porter une innovation que l'on pourrait qualifier d'utilité publique.
A l'Oncopole, on trouvera également le Centre de recherche en cancer de Toulouse (CRCT), dont les équipes travaillent sur des projets publics-privés avec de grands laboratoires pharmaceutiques ; le centre Pierre Potier, un hôtel à projets de 5 000 m2 abritant des équipes de l'Itav (Institut des technologies avancées en sciences du vivant) ; ainsi qu'une pépinière d'entreprises destinée à l'implantation de sociétés spécialisées dans les biotechnologies.Tous les bâtiments ne sont pas encore livrés ni toutes les équipes sur place, mais le Canceropôle est déjà en action. Il compte devenir un leader, si ce n'est le leader européen dans la lutte contre le cancer. Symbole de cette ambition, le projet Captor (pour Cancer Pharmacology of Toulouse Oncopole and Region), qui vient de démarrer, avec lequel il est devenu, dans le cadre d'un appel à projets Investissements d'avenir, lauréat ex aequo face à Pacri, soutenu par plusieurs instituts franciliens (dont Curie, Gustave-Roussy, etc.).
Captor : un projet phare
Porté par l'université Paul-Sabatier, avec le CHU de Toulouse, l'Institut Claudius Regaud, l'Inserm et le CNRS, Captor prévoit de l'innovation autour des molécules, de la recherche clinique, un volet formation pour les professionnels, mais aussi de la "pharmacologie sociale". Il s'agit notamment de suivre des patients pour étudier l'observance de leur traitement pendant et après leur maladie, afin de mieux comprendre l'influence des déterminants sociaux dans le déroulement de la période située après un cancer. Ombre au tableau dans cet ambitieux projet Oncopole, le désengagement envisagé de Sanofi, alors que le groupe pharmaceutique était un des grands piliers industriels de l'aventure avec les Laboratoires Pierre Fabre. Malgré des propos se voulant rassurants du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg tenus à l'automne dernier, la menace plane toujours.En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/recherche-et-developpement/toulouse-declare-la-guerre-au-cancer_43357.html#LKULKpz46WDYgzaZ.99
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A l'Oncopole, on trouvera également le Centre de recherche en cancer de Toulouse (CRCT), dont les équipes travaillent sur des projets publics-privés avec de grands laboratoires pharmaceutiques ; le centre Pierre Potier, un hôtel à projets de 5 000 m2 abritant des équipes de l'Itav (Institut des technologies avancées en sciences du vivant) ; ainsi qu'une pépinière d'entreprises destinée à l'implantation de sociétés spécialisées dans les biotechnologies.Tous les bâtiments ne sont pas encore livrés ni toutes les équipes sur place, mais le Canceropôle est déjà en action. Il compte devenir un leader, si ce n'est le leader européen dans la lutte contre le cancer. Symbole de cette ambition, le projet Captor (pour Cancer Pharmacology of Toulouse Oncopole and Region), qui vient de démarrer, avec lequel il est devenu, dans le cadre d'un appel à projets Investissements d'avenir, lauréat ex aequo face à Pacri, soutenu par plusieurs instituts franciliens (dont Curie, Gustave-Roussy, etc.).
Captor : un projet phare
Porté par l'université Paul-Sabatier, avec le CHU de Toulouse, l'Institut Claudius Regaud, l'Inserm et le CNRS, Captor prévoit de l'innovation autour des molécules, de la recherche clinique, un volet formation pour les professionnels, mais aussi de la "pharmacologie sociale". Il s'agit notamment de suivre des patients pour étudier l'observance de leur traitement pendant et après leur maladie, afin de mieux comprendre l'influence des déterminants sociaux dans le déroulement de la période située après un cancer. Ombre au tableau dans cet ambitieux projet Oncopole, le désengagement envisagé de Sanofi, alors que le groupe pharmaceutique était un des grands piliers industriels de l'aventure avec les Laboratoires Pierre Fabre. Malgré des propos se voulant rassurants du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg tenus à l'automne dernier, la menace plane toujours.En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/recherche-et-developpement/toulouse-declare-la-guerre-au-cancer_43357.html#LKULKpz46WDYgzaZ.99
Un Belge euthanasié après l'échec de son changement de sexe
Nathan, né de sexe féminin, a subi trois opérations pour devenir un
homme. Mais il considérait que sa poitrine restait trop forte et son
pénis était "raté". Son médecin a estimé ses souffrances psychiques
insupportables".
Un Belge âgé de 44 ans a été euthanasié lundi après une opération de changement de sexe
qui a échoué. Son médecin a estimé que ses souffrances psychiques
étaient devenues "insupportables", ont rapporté mardi des médias
belges.
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis, à l'issue d'une longue procédure en vue d'obtenir l'accord du monde médical dans un pays, la Belgique, où l'euthanasie est légale depuis 2002. "Il est mort en toute sérénité", a déclaré le médecin l'ayant suivi, Wim Distlemans, de l'hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d'une euthanasie étaient réunies car "on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables", a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws.
"J'ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté", avait-il résumé, estimant être "resté 44 ans de trop sur cette terre". Pour avoir recours à l'euthanasie, "la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances" pouvant être "d'ordre psychique ou physique", a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l'euthanasie.
Le débat sur l'euthanasie n'est pas clos puisque le parlement belge doit examiner son extension aux mineurs "capables de discernement" et aux adultes souffrant de démence de type Alzheimer ou vasculaire grave. La grande majorité des Belges approuvent ces évolutions, selon un sondage à paraître mercredi dans la Libre Belgique et devant être diffusé le même jour par la RTBF.
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis, à l'issue d'une longue procédure en vue d'obtenir l'accord du monde médical dans un pays, la Belgique, où l'euthanasie est légale depuis 2002. "Il est mort en toute sérénité", a déclaré le médecin l'ayant suivi, Wim Distlemans, de l'hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d'une euthanasie étaient réunies car "on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables", a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws.
"J'ai eu une aversion pour mon nouveau corps"
Nathan avait le sexe féminin à sa naissance, dans une famille qui comptait trois garçons, et portait le prénom de Nancy. Il avait été rejeté par ses parents, qui souhaitaient un nouveau garçon, selon le quotidien qui l'a interrogé la veille de sa mort. Rêvant depuis son adolescence de devenir un homme, il avait successivement subi trois opérations (cure d'hormones, ablation des seins et changement de sexe) entre 2009 et juin 2012, mais sans en être satisfait: sa poitrine restait trop forte et le pénis qu'on lui avait placé était "raté", avait-il expliqué. "J'avais préparé des dragées pour fêter ma nouvelle naissance, mais la première fois que je me suis vu dans le miroir, j'ai eu une aversion pour mon nouveau corps", avait raconté Nathan."J'ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté", avait-il résumé, estimant être "resté 44 ans de trop sur cette terre". Pour avoir recours à l'euthanasie, "la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances" pouvant être "d'ordre psychique ou physique", a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l'euthanasie.
Vers une extension de l'euthanasie aux mineurs?
"Un premier médecin s'est intéressé aux caractères grave et incurable de l'affection (...) Un autre médecin, un psychiatre, spécialiste de la pathologie concernée, a examiné la qualité de la demande pour déterminer s'il ne s'agissait pas, par exemple, d'une dépression passagère", a-t-elle ajouté sur RTL. Une chaîne de télévision flamande, TV Oost, diffusera prochainement un reportage consacré à la vie de Nathan, qu'elle a suivi jusqu'à son dernier jour.Le débat sur l'euthanasie n'est pas clos puisque le parlement belge doit examiner son extension aux mineurs "capables de discernement" et aux adultes souffrant de démence de type Alzheimer ou vasculaire grave. La grande majorité des Belges approuvent ces évolutions, selon un sondage à paraître mercredi dans la Libre Belgique et devant être diffusé le même jour par la RTBF.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/un-belge-euthanasie-apres-l-echec-de-son-changement-de-sexe_1287204.html#BAYWdMgKvFKCKxgr.99
Un Belge euthanasié après l'échec de son changement de sexe
Nathan, né de sexe féminin, a subi trois opérations pour devenir un
homme. Mais il considérait que sa poitrine restait trop forte et son
pénis était "raté". Son médecin a estimé ses souffrances psychiques
insupportables".
Un Belge âgé de 44 ans a été euthanasié lundi après une opération de changement de sexe
qui a échoué. Son médecin a estimé que ses souffrances psychiques
étaient devenues "insupportables", ont rapporté mardi des médias
belges.
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis, à l'issue d'une longue procédure en vue d'obtenir l'accord du monde médical dans un pays, la Belgique, où l'euthanasie est légale depuis 2002. "Il est mort en toute sérénité", a déclaré le médecin l'ayant suivi, Wim Distlemans, de l'hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d'une euthanasie étaient réunies car "on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables", a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws.
"J'ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté", avait-il résumé, estimant être "resté 44 ans de trop sur cette terre". Pour avoir recours à l'euthanasie, "la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances" pouvant être "d'ordre psychique ou physique", a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l'euthanasie.
Le débat sur l'euthanasie n'est pas clos puisque le parlement belge doit examiner son extension aux mineurs "capables de discernement" et aux adultes souffrant de démence de type Alzheimer ou vasculaire grave. La grande majorité des Belges approuvent ces évolutions, selon un sondage à paraître mercredi dans la Libre Belgique et devant être diffusé le même jour par la RTBF.
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis, à l'issue d'une longue procédure en vue d'obtenir l'accord du monde médical dans un pays, la Belgique, où l'euthanasie est légale depuis 2002. "Il est mort en toute sérénité", a déclaré le médecin l'ayant suivi, Wim Distlemans, de l'hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d'une euthanasie étaient réunies car "on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables", a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws.
"J'ai eu une aversion pour mon nouveau corps"
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Vers une extension de l'euthanasie aux mineurs?
"Un premier médecin s'est intéressé aux caractères grave et incurable de l'affection (...) Un autre médecin, un psychiatre, spécialiste de la pathologie concernée, a examiné la qualité de la demande pour déterminer s'il ne s'agissait pas, par exemple, d'une dépression passagère", a-t-elle ajouté sur RTL. Une chaîne de télévision flamande, TV Oost, diffusera prochainement un reportage consacré à la vie de Nathan, qu'elle a suivi jusqu'à son dernier jour.Le débat sur l'euthanasie n'est pas clos puisque le parlement belge doit examiner son extension aux mineurs "capables de discernement" et aux adultes souffrant de démence de type Alzheimer ou vasculaire grave. La grande majorité des Belges approuvent ces évolutions, selon un sondage à paraître mercredi dans la Libre Belgique et devant être diffusé le même jour par la RTBF.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/un-belge-euthanasie-apres-l-echec-de-son-changement-de-sexe_1287204.html#BAYWdMgKvFKCKxgr.99
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"J'ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté", avait-il résumé, estimant être "resté 44 ans de trop sur cette terre". Pour avoir recours à l'euthanasie, "la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances" pouvant être "d'ordre psychique ou physique", a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l'euthanasie.
Le débat sur l'euthanasie n'est pas clos puisque le parlement belge doit examiner son extension aux mineurs "capables de discernement" et aux adultes souffrant de démence de type Alzheimer ou vasculaire grave. La grande majorité des Belges approuvent ces évolutions, selon un sondage à paraître mercredi dans la Libre Belgique et devant être diffusé le même jour par la RTBF.
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis, à l'issue d'une longue procédure en vue d'obtenir l'accord du monde médical dans un pays, la Belgique, où l'euthanasie est légale depuis 2002. "Il est mort en toute sérénité", a déclaré le médecin l'ayant suivi, Wim Distlemans, de l'hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d'une euthanasie étaient réunies car "on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables", a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws.
"J'ai eu une aversion pour mon nouveau corps"
Nathan avait le sexe féminin à sa naissance, dans une famille qui comptait trois garçons, et portait le prénom de Nancy. Il avait été rejeté par ses parents, qui souhaitaient un nouveau garçon, selon le quotidien qui l'a interrogé la veille de sa mort. Rêvant depuis son adolescence de devenir un homme, il avait successivement subi trois opérations (cure d'hormones, ablation des seins et changement de sexe) entre 2009 et juin 2012, mais sans en être satisfait: sa poitrine restait trop forte et le pénis qu'on lui avait placé était "raté", avait-il expliqué. "J'avais préparé des dragées pour fêter ma nouvelle naissance, mais la première fois que je me suis vu dans le miroir, j'ai eu une aversion pour mon nouveau corps", avait raconté Nathan."J'ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté", avait-il résumé, estimant être "resté 44 ans de trop sur cette terre". Pour avoir recours à l'euthanasie, "la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances" pouvant être "d'ordre psychique ou physique", a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l'euthanasie.
Vers une extension de l'euthanasie aux mineurs?
"Un premier médecin s'est intéressé aux caractères grave et incurable de l'affection (...) Un autre médecin, un psychiatre, spécialiste de la pathologie concernée, a examiné la qualité de la demande pour déterminer s'il ne s'agissait pas, par exemple, d'une dépression passagère", a-t-elle ajouté sur RTL. Une chaîne de télévision flamande, TV Oost, diffusera prochainement un reportage consacré à la vie de Nathan, qu'elle a suivi jusqu'à son dernier jour.Le débat sur l'euthanasie n'est pas clos puisque le parlement belge doit examiner son extension aux mineurs "capables de discernement" et aux adultes souffrant de démence de type Alzheimer ou vasculaire grave. La grande majorité des Belges approuvent ces évolutions, selon un sondage à paraître mercredi dans la Libre Belgique et devant être diffusé le même jour par la RTBF.
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